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Idées reçues sur le climat

​Malgré la désaffection populaire, politique et scientifique de la « cause climatique » les media persistent à propager des idées fausses sur le climat. En voici quelques-unes :

L’augmentation du CO2 est responsable d’une augmentation de la température moyenne.

FAUX : C’est l’augmentation de la température qui induit une augmentation du taux de CO2 atmosphérique, par effet de dégazage des océans. A toutes les échelles de temps, l’élévation de température précède l’augmentation du CO2 : Voir figure n° 2 dans les diapositives associées à l’exposé « La déraison climatique ».

La fonte de la glace du pôle nord va entrainer une élévation majeure du niveau océanique.

FAUX : La glace polaire étant une banquise, sa fonte n’est pas susceptible de modifier le niveau marin, pour la même raison que lorsque les glaçons de votre verre de whisky auront fondu le niveau du liquide sera strictement inchangé : principe d’Archimède.

Les forêts vierges de l’Amazonie et d’autres régions sont des sources majeures de stockage du CO2 atmosphérique.

FAUX : Dans une forêt vierge, le pourrissement des arbres morts restitue à l’atmosphère le CO2 accumulé pendant de leur croissance.

Ce n'est que dans une forêt exploitée associant coupes régulières et reboisement que du CO2 est prélevé dans l’atmosphère.
NB: Par contre le déboisement entraîne une diminution d'évaporation non compensée par les jeunes plantations ce qui a un effet de réchauffement.

La déforestation est dramatique ces dernières décennies.

FAUX : Nonobstant une déforestation limitée en quelques endroits (qui n’est nuisible à la biodiversité locale qu’en absence de reboisement), la croissance du CO2 atmosphérique, qui est la nourriture des plantes, a entrainé ces dernières décennies une augmentation globale des espaces verts de la planète et notamment des forêts d’une superficie équivalente à la surface de l’Amazonie. Voir figures n° 13 et 14 dans les diapositives associées à l’exposé « La déraison climatique ».

NB: Par contre ce sont les forêts tempérées qui augmentent, au dépens des forêts tropicales, avec comme conséquence un effet de réchauffement suite à une différence d'évaporation: cf ci-avant.

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Le CO2 est un polluant.

FAUX : Le CO2 est au contraire la molécule essentielle de toute la vie sur terre et en mer, étant à la base de toutes les chaines alimentaires ; et son taux optimal est le triple de sa valeur actuelle. Voir figure n° 15 dans les diapositives associées à l’exposé « La déraison climatique ».

Les sécheresses augmentent sous l’effet du réchauffement climatique.

FAUX : Les sécheresses ont diminué régulièrement ces dernières décennies sous l’effet du reverdissement la planète et peut-être, ce reste à prouver, d’une possible augmentation des précipitations secondaire à l’augmentation de l’humidité atmosphérique. Voir figure n°17 dans les diapositives associées à l’exposé « La déraison climatique ».

Les incendies de forêt augmentent sous l’effet du réchauffement.

FAUX : Les incendies de forêt ont diminué régulièrement ces dernières décennies, sous l’effet du reverdissement la planète et peut-être aussi, ce n’est pas prouvé, d’une augmentation des précipitations secondaire à l’augmentation de l’humidité atmosphérique. Voir figure n°18 dans les diapositives associées à l’exposé « La déraison climatique ».

Les cyclones, ouragans et autres tempêtes tropicales ne cessent d’augmenter en fréquence et en gravité.

FAUX : La fréquence de ces différentes formes d’évènements climatiques extrêmes n’a pas varié et elle a même tendance à diminuer ces dernières décennies. Voir figure n° 19 dans les diapositives associées à l’exposé
« La déraison climatique ».

Le GIEC est l’organisme scientifique de référence en matière climatique.

FAUX : Le GIEC n’est un organisme scientifique ni dans sa composition, ni dans sa compétence, ni dans son fonctionnement. C’est un lobby écologiste de l'ONU qui s’est donné un vernis pseudo-scientifique et qui n’a aucune crédibilité du fait de fraudes, de mensonges, d’omissions, d’affirmations erronées, du refus de contradiction, de présentations trompeuses et d’extrapolations invraisemblables. Voir figures n° 22 et 23 dans les diapositives associées à l’exposé « La déraison climatique ».

Le changement climatique est exceptionnel par son amplitude et sa rapidité.

FAUX : Les analyses des prélèvements de calottes glaciaires montrent que des changements plus rapides et de plus grande amplitude sont survenus de nombreuses fois dans le passé climatique.

Il y a un large consensus scientifique sur la responsabilité anthropique du réchauffement actuel.

FAUX : Des milliers de scientifiques contestent l’implication du CO2 dans le changement climatique. Cf liste de quelques scientifiques climatosceptiques dans l'annexe à l’exposé « La déraison climatique ».

La planète se dirige vers un réchauffement catastrophique pour l’humanité.

FAUX : Le climat se dirige avec une absolue certitude vers une période glaciaire dramatique dont la survenue est imprévisible, allant de quelques siècles à quelques milliers d’années. A plus court terme, le réchauffement actuel est favorable à l’humanité, comme l’ont été les deux dernières périodes de réchauffement, au moyen âge et à l’époque romaine.

Il est vital de limiter le taux de CO2 atmosphérique et cela quel qu’en soit le prix, par restriction des émissions et par séquestration du CO2.

FAUX : Le CO2 étant largement bénéfique pour le plancton, les espaces verts et les rendements agricoles, il faudrait probablement au contraire majorer autant que possible son taux atmosphérique. On pourrait le faire sans gaspiller  les carburants fossiles, en brûlant du calcaire dans les cimenteries avec l’électricité produite par le nucléaire, l’éolien ou le photovoltaïque en période de basse consommation.

L’élévation du niveau océanique a déjà impacté de nombreuses iles du pacifique, en partie submergées.

FAUX : L’élévation du niveau océanique a débuté il y a 12.000 ans, au début de l’Holocène où il était 120 mètres plus bas soit une élévation de 10 à 15 mm par an et il n’a cessé de ralentir depuis à moins de 3 mm par an aujourd’hui. Le niveau marin est une mesure relative qui dépend localement de plusieurs facteurs, notamment les mouvements de subduction, si bien que selon les endroits le niveau peut s’élever davantage ou bien baisser. La surface totale des iles du pacifique a augmenté de l’ordre de 3 % ces dernières décennies.

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