La déraison climatique
AVERTISSEMENT
Cet article et le diaporama associé sont repris d’une présentation orale.
Si vous êtes convaincus de la scientificité et de l’indépendance du GIEC, du consensus scientifique sur la thèse de l’effet du CO2 sur le réchauffement climatique, et si vous êtes sensibles aux incantations de Greta l’ado autiste déscolarisée, passez votre chemin, la lecture de cet article pourrait vous donner des aigreurs d’estomac et bien pire insinuer le doute sur l’évangile de la religion climatique, ce qui en a conduit plus d’un au bûcher.
Si en revanche vous soupçonner que quelque chose ne tourne pas rond dans le discours officiel, que vous vous demandez pourquoi les prévisions de l’organisme précité ont toujours été démenties par les faits, sans aucune exception, et pourquoi on ne vous propose jamais de débat contradictoire sur la question, pourquoi enfin on vous répète inlassablement qu’il y a consensus sur la responsabilité du CO2 alors que cette hypothèse est démentie par des milliers de scientifiques, alors cette présentation basée sur des faits avérés, des images et des graphiques provenant de sources sûres, plus de 70 livres grand public et articles en libre accès sur le net, cités en références, vous permettra de découvrir une réalité que les écologistes fanatiques cherchent à tout prix à occulter.
Outre ces références, vous trouverez également en annexe une liste non exhaustive des scientifiques climato-sceptiques les plus connus, avec pour la plupart l’expression synthétique de leur conviction.
Sans doute les écologistes ne sont ils pas tous sectaires, dogmatiques et totalitaires. Mais il est indéniable que certains le sont, comme le prouve l’historique de ma dernière présentation, programmée de longue date mais annulée en dernière minute par l’organisateur suite aux pressions exercées par des sectateurs fanatiques de la thèse canonique, ayant invoqué le caractère « dogmatique » de la conférence pour la faire censurer.
Je laisse les lecteurs apprécier la pertinence de cette censure et de sa motivation, illustration de la police de la pensée verrouillant l’orthodoxie climatique et de l’omerta visant à empêcher toute réflexion critique autant que l’exposé des faits qui démontrent l’inanité de la doxa climatique.
Schopenhauer (L’art d’avoir toujours raison) prescrivait qu’en dernière extrémité, à court d’arguments, lancer une attaque ad hominem permettait d’avoir le dernier mot.
Dans l’incapacité de rencontrer l’exposé des faits et les arguments des milliers de scientifiques climato-sceptiques, dont le nombre et les publications ne cessent de s'accumuler, les anthropo-réchauffistes en sont désormais réduits à éliminer leurs contradicteurs.
« Il a dit la vérité : il doit être exécuté » (G Béart).
PARTIE 1
La planète est en danger. Il est établi que les émissions de CO2 depuis l’ère industrielle sont responsables d’un réchauffement climatique sans précédent dans l’histoire de l’humanité.
Ce réchauffement élève le niveau des océans, qui vont bientôt submerger les îles du pacifique et les zones côtières du monde entier.
La fréquence des évènements climatiques exceptionnels augmente partout. Sècheresses, canicules et feux de forêts vont rendre une vaste partie du monde inhabitable à brève échéance.
Il est urgent, s’il n’est pas déjà trop tard, de cesser totalement les émissions de CO2, et cela quel qu’en soit le prix.
La survie de l’humanité en dépend et il est criminel de nier ces évidences.
Voilà le discours dont les media nous abreuvent quotidiennement.
Mais est-ce pour autant la réalité ?
Bien que cette présentation soit titrée « La déraison climatique », elle n’est pas seulement, ni d’ailleurs principalement, un questionnement sur la responsabilité réputée anthropique du réchauffement climatique.
Elle est surtout une mise en garde contre la dérive totalitaire d’une pensée dominante et contre le dévoiement d’une science inféodée à l’autorité du politique.
Sur le climat, je vous dirai que le réchauffement n’a rien d’inquiétant et est au contraire globalement bénéfique, qu’il n’y a aucun consensus ses causes, que l’augmentation du CO2 atmosphérique est une bénédiction, que la montée du niveau océanique a débuté il y a 12.000 ans et sur le long terme n’a cessé de se ralentir depuis, que l’incidence des feux de forêts et des sécheresses est en diminution, et surtout que le GIEC n’est pas crédible, n’étant un organisme scientifique ni dans sa composition, ni dans sa compétence, ni dans son fonctionnement.
Bien qu’elle soit étayée par une abondante littérature, dont la liste est à votre disposition, cette présentation est donc résolument hérétique.
Pour donner le ton, je commencerai par citer Judith Curry, professeur à l'école des sciences de la terre et de l'atmosphère au Georgia Institute of Technology d'Atlanta, décorée par l'American Meteorological Society, l'American Geophysical Union, la NASA, j’en passe, auteur de plus de 100 publications, réviseur au GIEC avant d’en démissionner et de rejoindre la fondation climato-réaliste Clintel, dont les travaux sont en libre accès sur le web. Elle déclarait en 2017 : « Un scientifique est obligé d'adhérer à l'idéologie du GIEC pour obtenir des crédits et avancer dans sa carrière : soit il renonce à l'intégrité scientifique soit il peut faire une croix sur sa carrière. »
L’année suivante, elle remettait le couvert dans une interview :
« L’indépendance d’esprit et la climatologie sont devenus incompatibles. La climatologie est devenue un parti politique de tendance totalitaire, une science douteuse dans laquelle les scientifiques ne précèdent pas les politiciens : il courent derrière. »
J’ai choisis ces citations parmi des dizaines de la même veine.
A l’instar des milliers de scientifiques censurés par les cerbères du GIEC, je suis convaincu de l’absence d’incidence majeure des émissions de CO2 sur le réchauffement actuel et surtout futur, de l’inanité des catastrophes annoncées, et de la vanité des mesures proposées.
On peut être sceptique sur les rapports du GIEC à au moins 4 niveaux :
Celui d’un changement sans précédent dans l’histoire du climat, sur la responsabilité anthropique du réchauffement, sur son impact défavorable à l’humanité, et enfin sur le réalisme et la pertinence de réduire considérablement et à bref délai les émissions de CO2.
Je suis sceptique, et c’est peu dire, sur chacun de ces quatre points.
Ma conviction se fonde sur le rapport résumé du GIEC à l’intention des décideurs, sur l’essentiel de la partie technique du rapport complet, sur de nombreux articles en libre accès sur le net, une vingtaine de livres édités en anglais et presque tous ceux édités en français, soit quelque 60 ouvrages dont les références sont à votre disposition.
Pour autant, je serais peu crédible en opposant une conviction, fut-elle partagée par des milliers de scientifiques, à la doxa du GIEC.
Aussi cette présentation est-elle basée essentiellement sur les faits, illustrés par des images et des graphiques commentés dans le texte aux 2 / 3 de cet exposé.
Les faits se résument ainsi :
Tout d’abord, il est erroné de parler de dérèglement climatique, ce qui suppose que le climat ait été « réglé » avant la période industrielle, alors qu’il n’a cessé de changer à long, à moyen et à court terme.
Sur le long terme, la période de réchauffement planétaire actuelle, appelée Holocène, a débuté il y a 12.000 ans. Elle est la récupération de la dernière période glaciaire et elle a initié la mutation majeure de l’histoire de l’humanité, l’avènement du néolithique, où l’homme est passé du stade de chasseur - cueilleur à celui de cultivateur - éleveur.
Sur les 12.000 ans de l’holocène, mais surtout dans sa première moitié, le réchauffement a élevé les océans de 120 mètres, soit une moyenne de 10 mm par an, sous le double effet de la dilatation des eaux et de la fonte des glaces continentales, rapidement au début, puis de moins en moins, jusqu’au niveau actuel de moins 2 mm par an.
A moyen terme, la température moyenne mondiale a varié également, avec quatre périodes plus chaudes identifiées sur les deux derniers millénaires, celle que nous connaissons étant la quatrième, qui a débuté vers 1.730, c’est-à-dire bien avant les émissions de CO2 anthropiques.
Mesurée aujourd’hui à 14,8 degrés, la température était notamment plus élevée aux époques romaine et médiévale et les glaciers étaient alors moins étendus qu’ils le sont aujourd’hui, ce qui est attesté par la découverte de vestiges de ces périodes aux pieds des glaciers rétractés.
Le réchauffement actuel est évalué à 1,1 degré sur les derniers 150 ans de mesure précise de la température, soit 0,6 degrés en un siècle.
Sur ce court terme, il a connu une forte croissance de 1900 à 1940, bien avant les importantes émissions de CO2, puis un refroidissement de 1940 à 1980, en pleine croissance de ces émissions, à nouveau 20 ans de croissance, suivie d’une relative stabilité depuis le début du siècle hormis une nouvelle croissance ces dernières années, de trop courte durée cependant pour être significative.
Le réchauffement n’a pas non plus été uniforme dans sa géographie.
Ces deux derniers siècles, il a davantage affecté la région tempérée de l’hémisphère nord et plus particulièrement l’Europe, ainsi que l’Arctique, tandis que la température restait paradoxalement stable en Antarctique.
L’hypothèse que les activités humaines soient le facteur principal du réchauffement voire même qu’elles y contribuent quelque peu est largement sujette à caution.
Une contribution des émissions de CO2 d’origine anthropique semble néanmoins probable dans le réchauffement récent, mais très limitée, le CO2 atmosphérique d’origine anthropique étant de l’ordre de 10 %.
Ce qui est certain en revanche, c’est que l’augmentation de 50 % du CO2 atmosphérique depuis l’ère industrielle a été formidablement bénéfique, entrainant un reverdissement de la planète et une importante augmentation des rendements agricoles et du plancton océanique.
En outre, il n’est nullement prouvé que la légère élévation de la température moyenne du globe, quelles qu’en soient les causes, soit défavorable à l’humanité, au contraire, hormis pour les skieurs alpins.
Et même dans l’hypothèse hautement improbable d’une augmentation majeure de la température, les prévisions du GIEC ne sont pas fondées et au pire sont très exagérées.
En effet, on estime qu’un réchauffement majeur entrainerait une perte économique de 5 % de PIB à la fin du siècle, à déduire de sa progression attendue de 250 % dans l’hypothèse raisonnable d’une croissance annuelle moyenne de 1,5 %
Quant à la prétendue augmentation des événements climatiques majeurs tels cyclones, ouragans, sécheresses et incendies, elle est contredite par les statistiques, qui montrent exactement le contraire ;
et les prévisions du GIEC d’aggravation future ne sont pas davantage fondées, à l’instar de ses prévisions antérieures, qui ont toujours été démenties par les faits, sans aucune exception.
Dans ce contexte, l’adoption par l’Europe d’une réduction des émissions de CO2 drastique et pratiquement unilatérale est suicidaire pour l’économie, surtout si elle tourne le dos au nucléaire, ce qui est insensé et va d’ailleurs à l’encontre des propositions du GIEC, qui préconise de multiplier d’un facteur 2 à 4 la puissance nucléaire installée d’ici 2.050.
Enfin, l’électrification du parc automobile et les installations éoliennes ne sauraient avoir le moindre effet sur la croissance du taux de CO2 ; et il est fort heureux qu’il en soit ainsi étant donné ses bénéfices majeurs pour la planète ; sauf que ces mesures se traduisent par l’augmentation du coût de l’électricité et par la destruction de l’environnement.
Comment suis-je arrivé à ces conclusions ?
Initialement, deux faits anecdotiques m’ont mis la puce à l’oreille.
Le premier, des adolescents défilant avec des pancartes du style « sauvez la planète ; sauvez nous ; stop aux carburants fossiles ».
Je me disais : Voilà des ados manipulés qui marchent pour une cause dont ils ignorent très probablement les fondamentaux. Combien d’entre eux pourraient-ils seulement définir le terme « albédo » ?
Seconde anecdote : l’affichage un peu partout d’un ours polaire dérivant tristement sur un morceau de glace. Aucun commentaire à cette image parlant d’elle-même, reprise en couverture de nombreux livres.
Il se trouve cependant que la population de ces sympathiques plantigrades (enfin, sympathiques quand ils sont petits…) a triplé au cours les trois dernières décennies.
Mais au-delà de ces deux anecdotes au fort parfum de désinformation, c’est essentiellement le rabâchage médiatique d’un consensus sur la responsabilité du CO2 dans le réchauffement qui m’a interpelé.
D’abord parce qu’un consensus n’est pas un argument et encore moins une preuve et qu’il est même antinomique avec la science, comme l’a souligné le physicien américain nobélisé Richard Feynman.
Ensuite et surtout, cette allégation répétée d’un consensus scientifique était en soi très symptomatique d’une faiblesse de l’argumentation.
Les phénomènes qui interviennent dans la régulation climatique sont extrêmement complexes, impliquant de multiples facteurs qui interférent entre eux par des synergies ou des rétroactions, souvent non linéaires voire chaotiques, et les paramètres inclus dans les modèles du GIEC souffrent d’une marge d’incertitude majeure qui invalide toute prédiction fiable, ce que le GIEC reconnait d’ailleurs dans son rapport préliminaire.
Retenir dans ce contexte l’implication d’un seul facteur causal, à savoir le CO2, est par conséquent démesurément simpliste et réducteur.
Cette simplicité rappelle la citation du journaliste Mencken : « Tous les problèmes complexes ont une réponse qui est simple, claire, et fausse ».
La responsabilité anthropique du réchauffement est en réalité très loin d’être une opinion unanime. Les scientifiques sceptiques se comptent par milliers mais ils sont ignorés par les media, sinon pour les ostraciser.
Mais le plus inquiétant est un projet de loi dans l’Hexagone visant à pénaliser l’expression d’un doute sur l’orthodoxie climatique, rejoignant la judiciarisation des opinions qualifiées de nauséabondes.
Je me limiterai à rapporter ici six arguments contre la responsabilité anthropique, cinq faits et une objection théorique majeure.
Premier fait : Le taux de CO2 est aujourd’hui 10 à 20 fois inférieur à ce qu’il fut à certaines époques, comme à l’Ordovicien, il y a 450 millions d’années alors que sévissait pourtant un refroidissement responsable au moins en partie de la première grande extinction des espèces, et qu’à l’inverse il était très bas et proche du taux actuel à la fin du Crétacé il y a 70 millions d’années alors que le climat était alors très chaud.
Le GIEC tient la responsabilité humaine pour acquise sur base de la corrélation de l’évolution de la température et du taux de CO2, un argument notoirement insuffisant pour prouver quoi que ce soit, d’autant que cette corrélation était donc absente ou inverse à certaines périodes.
Deuxième fait : Dans les périodes où CO2 et température évoluent dans le même sens, l’élévation du CO2 pourrait être la conséquence du réchauffement plutôt que l’inverse, par effet de dégazage du CO2 des océans secondairement à leur réchauffement.
Il est remarquable en effet que lorsqu’on observe une relation entre l’évolution du taux de CO2 et de la température, à toutes les échelles de temps l’évolution du CO2 suit celle de la température et non l’inverse, ce qui contredit la thèse du GIEC et accrédite le dégazage.
Troisième fait : Le réchauffement récent a débuté vers 1.730, soit deux siècles avant le début des émissions anthropiques de CO2 ; et la fonte des glaciers a débuté un siècle plus tard, vers 1830, plus d’un siècle avant la forte augmentation de ces émissions.
Remarquablement, dans le réchauffement récent de 1,1 degré portant sur les 150 dernières années, la moitié est intervenue avant 1940 alors que pendant cette période les émissions de CO2 anthropiques n’ont été que de 10% du total des émissions accumulées à ce jour.
Aucun des modèles du GIEC n’est capable de reproduire l’évolution de la température à partir de l’évolution du taux de CO2 atmosphérique.
Quatrième fait : L’évolution du taux relatif des isotopes 12, 13 et 14 du carbone dans le CO2 atmosphérique montre que sa majoration d’origine humaine serait de 23% depuis la période industrielle, ce qui correspond à un taux de seulement 11% dans le stock du CO2 atmosphérique.
Cinquième fait : Selon les modèles du GIEC, l’élévation de température devrait être symétrique aux deux pôles alors que si la banquise boréale diminue effectivement ce n’est pas le cas pour la banquise australe.
Outre ces cinq faits, une objection théorique, fondamentale :
Si les deux principaux gaz à effet de serre que sont la vapeur d’eau et le CO2 permettent d’avoir une température moyenne de 15° alors que sans eux la température serait plus basse de 33°, l’effet de serre du CO2 n’intervient qu’à raison de 6 %, contre 90 % pour la vapeur d’eau, qui est en bien plus grande quantité dans l’atmosphère et qui a un spectre d’absorption dans l’infra-rouge beaucoup plus large que le CO2.
De plus, l’effet du CO2 sur la température est en rapport logarithmique avec sa concentration, ce qui signifie que son effet additionnel diminue à mesure que son taux augmente ; et son effet est aujourd’hui pratiquement saturé, si bien que toute majoration ultérieure, quelle que soit son amplitude, ne pourrait plus avoir qu’un effet négligeable.
La sensibilité climatique intrinsèque du CO2, c’est-à-dire son effet théorique sur la température par doublement de son taux, varie de 0 à 0,8 degrés selon les scientifiques. Il est de 0,78 degrés pour le GIEC.
Si le GIEC fait l’hypothèse d’une augmentation de température supérieure à un degré, c’est en supposant un renforcement de l’effet de serre de la vapeur d’eau suite au réchauffement mineur initié par le CO2.
C’est en effet possible mais nullement prouvé, car l’hypothétique majoration d’humidité atmosphérique secondaire au réchauffement, par parenthèse indépendant de sa cause initiale, entrainerait également 4 autres rétroactions qui ne sont pas prises en considération par le GIEC et dont il est impossible d’estimer les contributions relatives.
En particulier, une majoration de l’humidité atmosphérique augmenterait les nuages et donc l’albédo, avec un effet de refroidissement ; si bien que si synergie il y avait, elle pourrait bien être négative.
Quoi qu’il en soit, est-il seulement sensé de s’inquiéter d’une hypothétique majoration de température d’un ou deux degrés à la fin du siècle, dont il n’est pas du tout prouvé qu’elle serait nuisible, quand la différence de température moyenne dépasse 5° entre le nord et le sud de la France et qu’elle est de 27 degrés entre la Norvège et le Mali ?
Cela étant, mon propos est beaucoup moins une mise en question des affirmations du GIEC qu’une mise en question de son fonctionnement.
Il faut tordre le cou à deux fictions rabâchées par les media ; la scientificité et la neutralité du GIEC ; et le consensus sur l’origine anthropique du réchauffement : deux mensonges éhontés.
Première fiction : Le GIEC n’est pas un organisme scientifique. C’est en réalité un organisme politique au service d’une idéologie écologiste masquée par une façade pseudo-scientifique.
Les rédacteurs et signataires du rapport final d’une quarantaine de pages, le résumé à l’intention des décideurs, ne sont pas des scientifiques mais des fonctionnaires subalternes représentant les 156 États membres, dépourvus de la moindre compétence scientifique.
Il y a bien sûr des scientifiques qui collaborent au rapport de base, qui comprend 4.000 pages. Ils sont 600 parmi les 2.500 membres du GIEC.
Ils ne sont pas choisis par leurs pairs pour leur compétence mais par les états membres, sans critère objectif. Leur travail consiste à rédiger un rapport préliminaire, qui est une méta-analyse de travaux sur le climat.
Un des problèmes est qu’ils opèrent une sélection orientée des travaux inclus dans leur analyse, en commençant par les leurs, le cas échéant, car ils ne sont pas tous des experts, loin de là ; et qu’ils se citent largement les uns les autres : on se complait dans l’entre-soi au GIEC.
Cet organisme, une émanation de l’ONU, s’est dès l’origine entouré de collaborateurs convaincus de la responsabilité anthropique, qui ont accumulé les articles corroborant leur thèse, écartant la quasi-totalité de ceux en sens contraire, ostracisant leurs auteurs au point de faire couper leurs subventions, de les écarter des réunions, de s’opposer à leurs publications et même de les faire licencier de leurs institutions.
Par exemple, dans une méta-analyse d’articles publiés de 1.998 à 2.020 portant sur l’incidence des phénomènes météorologiques majeurs, 52 des 53 articles inclus ne mettaient en évidence aucune augmentation.
Le GIEC a sélectionné l'unique rapport conforme à ses vues qui affirmait une augmentation, ignorant superbement les 52 autres.
L’Inter Academy Council des USA, un groupe d’experts mandaté pour auditer les méthodes du GIEC, y a relevé 7 défauts de procédure ; et c’était encore pis dans les parties du rapport consacrées aux prédictions, où le GIEC viole 72 principes sur les 89 applicables.
Le GIEC n’a tenu aucun compte des recommandations de cet audit.
Des fraudes ont aussi été mises en évidence, suite à une fuite d’échanges de mails connue sous le nom de « climategate ».
Tout ceci invalide la crédibilité des rapports du GIEC, qui sont biaisés à au moins quatre niveaux.
Le premier biais, fondamental, se trouve dès le libellé de sa mission :
« Évaluer les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique nécessaires pour comprendre les fondements scientifiques des risques liés au changement climatique d’origine humaine. »
La mission confiée au GIEC contient donc sa réponse. Elle peut se reformuler ainsi : Il y a un changement climatique ; il est dû aux activités humaines ; il induit des risques : il vous appartient d’étayer cette thèse.
Le second biais est dès lors implicite. Il se situe dans la sélection des articles retenus. Il n’y a pratiquement que les articles allant dans le sens anthropo-réchauffiste qui seront retenus par les réviseurs.
Le troisième biais existe avant même la sélection des articles par le GIEC. Les recherches sont en effet essentiellement dirigées dans le sens de la thèse orthodoxe car ce sont celles-là qui permettent de recevoir les fonds nécessaires ; et si les résultats ne sont pas conformes aux attentes, les articles rencontreront des difficultés de publication car le GIEC exerce une pression de censure sur les journaux spécialisés.
Le quatrième biais est dans la transcription du rapport préliminaire du GIEC dans le résumé à l’intention des décideurs, lequel est rédigé par des politiques et un nombre restreint de scientifiques affidés à la cause.
Ce résumé va altérer le texte initial dans le sens requis, au point que de nombreux scientifiques inclus dans la rédaction du rapport préliminaire démissionnerons, certains avec fracas, la plupart avec discrétion pour ne pas mettre en péril leur carrière et le financement de leur département.
Il y aura encore un cinquième biais dans la communication des médias, qui ne rapporteront que les prévisions du GIEC les plus outrancières du rapport, car ce sont celles-là évidemment qui attirent l’attention du public.
Dans une revue scientifique, tout projet de publication est passé au crible par un comité de lecture indépendant. L’auteur est contraint de satisfaire ses critiques et observations dans ses réponses. Il en sera de même pour les questions posées par les lecteurs après publication.
Le GIEC ne suit aucune de ces procédures.
Le second mensonge ressassé en boucle par les médias est le consensus scientifique sur la thèse canonique.
C’est oublier la pétition contestant les conclusions du GIEC adressée à l’ONU en 1998 et réitérée en 2008 par plus de 30.000 scientifiques dont plus de 9.000 titulaires d'un doctorat.
C’est oublier la pétition de la Climate Intelligence Foundation (fondation Clintel) adressée à l’ONU en 2019 par 500 scientifiques de 13 pays.
C’est oublier une pétition récente de 2022 signée par 1.200 scientifiques.
C’est oublier encore les multiples autres pétitions adressées par des scientifiques en Allemagne, en Italie, en France et ailleurs.
La persistance à parler de consensus quand des milliers de scientifiques ont écrit à l’ONU pour s’inscrire en faux contre les rapports du GIEC illustre la capacité abyssale de désinformation des media.
Il est prouvé que le prétendu consensus de 97 % est en réalité une construction factice basée sur un traitement statistique erroné des données et sur un raisonnement circulaire dans leur interprétation.
En utilisant une an@alyse statistique correcte, le consensus sur la responsabilité anthropique est inférieur à 1%, et encore, en n’incluant dans l’analyse que les seuls articles retenus par le GIEC.
Il y plusieurs articles à ce sujet dans les références à votre disposition.
En réalité, il n’est nullement établi qu’il y ait davantage de scientifiques convaincus de thèse anthropo-réchauffiste que de ceux qui la contestent, même si les premiers sont manifestement plus visibles.
Plus de 40.000 scientifiques dénoncent cette thèse, un nombre à confronter aux 600 scientifiques réviseurs du GIEC.
Cette présentation étant centrée sur les faits, je pensais me limiter à illustrer l’absence de consensus sans discuter la notion elle-même mais j’ouvre une parenthèse pour la préciser ici car je me suis rendu compte dans les questions posées lors des présentations antérieures et aussi par ma famille que cette notion de consensus était mal comprise.
Une personne dans l’assistance parlait même de consensus scientifique à propos de la forme sphérique de la terre ou de l’évolution des espèces.
C’est pourtant une erreur car il n’y a aucun consensus sur ces questions.
Il n’y en a pas pour la simple raison qu’elle ne font pas l’objet de discussion, s’agissant de faits établis qu’aucun scientifique ne conteste.
Un consensus scientifique est l’opinion majoritaire d’une organisation scientifique appelée à donner un avis sur une stratégie politique, comme lors de la pandémie de coronavirus pour la vaccination ou l’isolement.
Mais c’est une erreur de confondre un consensus avec un savoir acquis, ou de croire qu’une opinion majoritaire serait de facto un argument.
La science n’est pas une entreprise démocratique.
La plupart des connaissances scientifiques actuelles étaient d’ailleurs à l’origine des thèses isolées ou largement minoritaires.
On n’a jamais voté la loi de la gravitation et il ne viendrait à aucune organisation scientifique l’idée de voter pour les départager les théories concurrentes de la gravité quantique à boucles et la théorie des cordes.
Je peux concevoir qu’un profane puisse percevoir le consensus auto-proclamé du GIEC comme un argument.
En revanche, si c’est un scientifique qui invoque ce prétendu consensus comme argument, soit il le fait de mauvaise foi pour tenter de convaincre et c’est une tromperie, soit il le fait de bonne foi et il fait preuve alors d’une profonde ignorance épistémologique.
Dans les deux cas, pour un scientifique, c’est impardonnable.
Comment en est-on arrivés à transformer une question scientifique complexe en une croyance ? Par dévoiement de la posture scientifique.
Le scepticisme et la contradiction sont en effet de rigueur en science et confondre une hypothèse avec une vérité établie, c’est sortir de la science pour épouser une religion.
Remarquablement, le résumé à l’intention des décideurs ne justifie pas la responsabilité anthropique : elle y est affirmée sans discussion.
En eut-il été autrement d’ailleurs, les signataires du rapport n’y auraient certainement rien compris.
Sans parler des républiques bananières, quand le président Sarkozy invoque la nécessité de lutter contre les émissions de CO2 parce qu’elles font un trou dans la couche d’ozone, et que le président Obama reçoit une adolescente déscolarisée exhortant à la grève scolaire comme moyen de pression pour décarboner, il a de quoi s’interroger sur les compétences au plus haut niveau des états, ce qui donne une idée de celle des fonctionnaires subalternes qui votent les rapports du GIEC.
La volonté du GIEC a été constamment d’obtenir un consensus à n’importe quel prix sur les méthodes et il est édifiant de lire à ce sujet les 4 livres de Gérondeau dont 3 ont pour titre « la religion écologique ».
Le premier met en lumière les procédés déloyaux du GIEC dans la sélection des articles et l’écartement des dissidents.
Le second opus, sous-titré « les 12 mensonges du GIEC » dénonce ses affirmations controuvées, chiffres avérés à l’appui, parmi lesquelles l’amplitude réputée exceptionnelle du réchauffement constaté et la prétendue augmentation des évènements climatiques majeurs.
En réalité, le taux et l’amplitude des incendies de forêt et des sécheresses a régulièrement diminué au cours des dernières décennies et l’incidence des autres évènements météo majeurs n’a pas changé.
Mais les média n’en parlent jamais, préférant montrer quotidiennement des images d’inondations, de feux de forêt et de cyclones dévastateurs, les attribuant au changement climatique mais se gardant bien d’étayer cette affirmation par la moindre statistique, fût-t-elle même régionale.
Ils ne parlent jamais non plus du reverdissement de la planète, alors que les espaces verts ont augmenté en quelques décennies d’une surface vaste comme l’Amazonie, ni de l’augmentation majeure des rendements agricoles, deux effets directs de l’augmentation du CO2 ; informations que le GIEC a quant à lui enfoui au plus profond de son rapport préliminaire et qu’il a occulté dans son résumé à l’usage des décideurs.
Mais il y a plus. S’inquiéter du réchauffement climatique suppose que le climat, qui a toujours changé, aurait été à son niveau optimal au début des émissions anthropiques, ce qui serait tout bonnement extraordinaire.
A l'époque préindustrielle et plus précisément en 1830 qui est le point de référence pour mesurer le réchauffement, le climat était excessivement froid, à peine sorti du petit âge glaciaire qui avat culminé sous Louis XIV.
Je doute d’ailleurs que vous régliez votre thermostat sur 14 degrés...
Et les 3 périodes récentes de réchauffement précédant la nôtre, période minoenne ou âge du bronze, périodes romaine et médiévale, ont toutes les trois été favorables à l’humanité ; et la nôtre l’est également.
Et même dans l’hypothèse très improbable d’un réchauffement majeur imputable non pas au CO2 directement mais à une hypothétique rétroaction positive induite par l’accroissement d’humidité atmosphérique le coût de la décarbonation dépasserait le coût des effets négatifs du réchauffement tant que l’élévation de température reste inférieur à 3,5 °.
Ce calcul considérant uniquement les effets négatifs du réchauffement sans même prendre en compte ses effets positifs évidents a été fait par l’américain William Nordhaus sur base des données du GIEC, ce qui lui valut le prix Nobel d’économie de 2018.
Quant à l’augmentation du CO2 atmosphérique, on ne le répétera jamais assez alors que le GIEC est très discret à ce sujet, c’est une bénédiction.
Son taux a décollé vers 1880 d’un minimum de 280 ppm, pas si loin du seuil minimal de 180 ppm en deçà duquel toute végétation disparaît.
Sans cette augmentation bénéfique et avec la population actuelle, nous serions probablement confronté à des famines incontrôlables.
La croissance de 50% du taux atmosphérique de CO2 s’est en effet traduite par une augmentation de 30% de la biomasse et elle a contribué pour 20 à 30% à l’augmentation des rendements agricoles depuis un siècle, justifiant le titre du livre de Gérondeau « Le CO2 est bon pour la planète » et celui de Gervais « Merci au CO2 ».
Bien loin d’être le polluant dont on le qualifie parfois erronément, le CO2 est la condition même de toute la vie sur terre, étant le nutriment des végétaux, à la base de la chaine alimentaire de toutes les espèces.
La progression future du taux de CO2 sera donc un bienfait, bénéficiant encore aux rendements agricoles, puisque son taux optimal pour la végétation est le triple de sa valeur actuelle, un taux qui correspond à sa moyenne historique, valeur cohérente avec le fait que les plantes ont logiquement évolué en optimisant leur métabolisme à ce niveau moyen.
Il est prouvé expérimentalement que l’augmentation du taux de CO2 de 300 ppm au-delà des 412 ppm actuels, soit le taux estimé pour la fin du siècle, entrainera une augmentation supplémentaire des rendements de 25 à 70 % selon les cultures, avec une moyenne de plus de 40 %.
En résumé, s’il est prouvé que l’augmentation du CO2 est largement favorable à la végétation, au plancton marin et aux rendements agricoles, il n’est pas prouvé qu’elle ait une contribution notable dans le réchauffement actuel, parmi de multiples facteurs qui interagissent dans une dynamique complexe ; et il n’est prouvé non plus que ce réchauffement serait dommageable à l’humanité, bien au contraire.
Quant à l’ostracisme envers les climato-sceptiques, il est à l’opposé du fonctionnement normal de la science.
Il rappelle l’affaire Lyssenko, ce généticien russe qui sous Staline défendait une théorie controuvée mais politiquement conforme, opposée à la génétique nouvelle qualifiée de bourgeoise qui prévalait en occident, faisant éliminer ses collègues contestant sa théorie erronée, ce qui conduisit son pays à la famine pendant des années.
Aujourd’hui, l’écartement des congrès, la coupure des crédits de recherche, les refus de publications et les licenciements ont remplacé le goulag. C’est sans doute moins cruel mais c’est tout aussi efficace.
Des écolo-terroristes, relayés en France je l’ai dit par l’assemblée nationale, proposent même sérieusement de pénaliser la contestation des rapports du GIEC au titre de « crime contre l’humanité » ; ce qui est d’une rare impudence, car si les lois mémorielles constituent à mon estime un détestable précédent liberticide, il reste que l’holocauste est un fait historique alors que les projections climatiques à la fin du siècle se contredisent et surtout ne sont pas avérées.
Quant aux décideurs politiques, ils suivent aveuglément les directives du GIEC, du moins en Europe, qui ne contribue pourtant qu’à raison de 11% aux émissions de CO2 mondiales, lesquelles représentent au total moins de 25% de l’augmentation du CO2 atmosphérique.
Ces chiffrent montrent qu’une illusoire neutralité carbone en Europe réduirait à terme le taux de CO2 atmosphérique de moins de 3%, au prix d’un coût de décarbonation colossal et en contrariant en même temps les bénéfices majeurs du CO2 pour l’agriculture et les espaces verts.
Les mesures prises en Europe ne sauraient donc avoir le moindre effet, et le taux de CO2 continue logiquement de croitre sans fléchir, et même en s’accérérant, ce qui est une excellente chose, sauf que les mesures adoptées ont un coût évalué à 173.000 milliards de dettes, un montant supérieur au déficit cumulé de tous leurs Etats, pour viser en 2.050 une décarbonation techniquement impossible et financièrement impayable.
Les Européens se tirent ainsi une balle dans le pied en chargeant leurs industries, sur base d’une théorie douteuse sur un réchauffement sans conséquences négatives notables, des surcoûts considérables imposés par leurs restrictions d’émissions pratiquement unilatérales ; et ils se tirent aussi une balle dans l’autre pied quand en plus ils tournent le dos au nucléaire, source d’énergie qui est pourtant la plus propre, la moins chère, la plus sûre et la moins dépendante de pays tiers non alliés.
Il n’échapperont pourtant pas à la nécessité de réactiver la filière nucléaire ; mais dans l’intervalle leur économie sera mise à mal et ils auront perdu les compétences et le temps nécessaires à sa production.
Pourtant, malgré les incertitudes qui planent tant sur les causes du réchauffement que sur son évolution, son origine anthropique et ses conséquences dramatiques sont devenues des vérités révélées, à l’image de celles des religions, le CO2 tenant la place du diable alors qu’il est la condition même de toute la vie sur terre.
J’envisageais initialement, avant de conclure, de dénoncer l’absurdité de l’électrification du parc automobile et la calamité des moulins à vent.
Il m’a paru finalement plus pertinent de répondre dans le corps de cette présentation à une question centrale qui me serait inévitablement posée ; et pour rester dans un temps de parole raisonnable, je laisserai ces points secondaires aux questions éventuelles.
Mais avant cela, conscient que mon propos doit être déconcertant dans le climat de désinformation des media, je propose de l’illustrer par quelques images et graphiques
1. Ces deux graphiques d’évolution de la température sont extraits du premier et du dernier rapport du GIEC.
La comparaison est éloquente sur ses procédés.
Le premier graphique, conforme aux données, montre bien l’optimum climatique médiéval et la croissance de la température dès 1730.
Dans le second graphique, établi d’après on ne sait quel modèle, l’optimum médiéval a été effacé et l’augmentation de la température est devenue lente et régulière avant une forte augmentation récente.
Le second graphique a introduit deux variantes qui rendent moins évidente sa comparaison avec le premier : un changement d’échelle ;
le premier porte sur le dernier millénaire et le second sur 2.000 ans ; ensuite le second graphique n’est plus lissé des variations à court terme.
On peut raisonnablement penser que cette double modification de la présentation est volontaire et est destinée à masquer la forfaiture.
Le second graphique est en effet la célèbre courbe de Mann dite « en crosse de hockey ». Elle figurait encore dans l’antépénultième rapport du GIEC. Suite aux sévères critiques des statisticiens qui ont dénoncé le traitement incorrect des données permettant d’obtenir ce graphique fallacieux, le GIEC l’avait prudemment enlevé de son avant-dernier rapport mais il l’a étonnamment réintroduit dans le tout dernier.
Ceci corrobore mon sentiment que le GIEC commence à s’affoler devant le nombre croissant de climato-sceptiques, de scientifiques repentis ayant viré de bord, de publications qui sortent du bois et contestent sa théorie, et aussi évidemment des faits, décidément têtus, qui s’obstinent à contredire les modèles et les prévisions du GIEC, le contraignant à la fuite en avant dans le catastrophisme.
Les autres graphiques se passent de longs commentaires ; Ils montrent :
2. L’alternance de glaciations et de réchauffements à intervalles de 50 à 100.00 ans. Maximiser l’effet de serre du CO2 sera indispensable pour atténuer les effets de la période glaciaire qui suivra l’holocène.
3. La modicité de l’effet de serre du CO2 comparativement à la vapeur d’eau, 6% contre 90%, soit 15 fois moins.
4. La rapide décroissance de l’effet de serre additionnel du CO2 avec l’augmentation de son taux atmosphérique.
5. Le réchauffement récent a débuté vers 1730 soit deux siècles avant le début des fortes émissions de CO2.
6. La fonte des glaciers a débuté un siècle plus tard, vers 1830 soit plus d’un siècle avant la forte augmentation des émissions de CO2.
7. Sur cette échelle court terme portant sur les 40 dernières années, l’évolution de la température - en rouge - précède celle du CO2 - en vert - corroborant le fait que l’augmentation du CO2 est secondaire à l’échauffement, effet du dégazement océanique, et non l’inverse.
8. L’élévation du niveau océanique sur toute la durée de l’holocène avec un début rapide suivi d’un ralentissement progressif.
9. La confirmation du ralentissement ou du moins de la stabilité de la montée du niveau océanique ces dernières années.
10. La discordance d’amplitude majeure entre les modèles d’évolution de la température du GIEC et la réalité mesurée depuis 1975.
11. La relative stabilité de la température mondiale depuis le début du siècle.
12. L’augmentation nette de la population des ours polaires au cours des dernières décennies.
13. L’important verdissement de la planète ces 50 dernières années sous l’effet direct de la croissance du taux de CO2 atmosphérique.
14. Sous une autre présentation, l’augmentation des espaces verts.
15. Le gain de 30 % des rendements agricoles sur les 50 dernières années pour la même raison d’augmentation du CO2.
16. La progression future de la productivité agricole, de 25 à 70 % selon les cultures, sous l’effet de la majoration du taux de CO2 attendu à la fin du siècle
dans l’hypothèse probable où son augmentation se poursuivra inchangée.
17. La diminution des sècheresses sur une période de 30 ans.
18. La diminution des incendies de forêts tout au long du 20ème siècle.
19. L’absence de variation de la fréquence des différentes formes de tempêtes tropicales sur une période de 46 ans.
20. L’absence de variation des canicules au cours du 20ème siècle, hormis des pics de fréquence inexpliqués dans les années 30.
21. La banquise antarctique a un peu rétréci ces dernières années, au grand soulagement des anthropo-réchauffistes pour qui l’absence de fonte de la glace australe était en contradiction majeure avec leurs modèles ; sauf que cette évolution récente n’apparaît pas significative lorsqu’on considère les dernières décennies.
22. Quelques échanges de mails des scientifiques du GIEC récupérés par des hackeurs, à l’origine du climategate.
23. Preuve de la censure des opinions divergentes au sein du GIEC
DIAPOSITIVES ET COMMENTAIRES
PARTIE 2
La première partie de cette conférence était la synthèse d’un travail objectif de documentation. La seconde partie est en revanche personnelle et donc subjective, fruit de mes réflexions sur une question qui n’a cessé de tarauder mon interrogation et ma perplexité tout au long de mes recherches :
Comment une théorie aussi douteuse, désavouée par des milliers de scientifiques et contredite tant par les faits que par la physique, ait pu s’imposer comme une vérité incontestable ?
La première raison, suffisante pour rendre compte du phénomène, est un matraquage médiatique quotidien qui confine au lavage de cerveau.
Les media et les climatologues peu scrupuleux qualifient le moindre évènement météorologique de record historique, confondant sciemment ou par incompétence la météo locale et le climat mondial.
Dans un contexte où le journalisme d’investigation est moribond là où il n’a pas été euthanasié, et où la culture scientifique des media est quasiment inexistante, les journalistes s’appliquent à faire le travail pour lequel ils sont payés, c’est-à-dire désinformer dans le sens dicté par leur direction éditoriale, vigilante du respect de l’orthodoxie climatique.
Orwell, notamment dans ses deux romans les plus célèbres, la ferme des animaux et 1984, avait théorisé le principe de désinformation : le mensonge le plus grossier, répété avec suffisamment de conviction, de fréquence et d’intensité, finira par être adopté comme vérité incontestée.
Avez-vous remarqué, alors que les media vous rabâchent quotidiennement les oreilles d’un inquiétant réchauffement d’origine anthropique, qu’ils ne proposent jamais de débat sur la question ?
Pour cause : Dans les deux seuls débats dont j’ai connaissance opposant un affidé du GIEC et un climato-réaliste, le second a emporté la conviction de la quasi-totalité des commentateurs, dissuadant sans doute les anthropo-réchauffistes de récidiver l’expérience.
La deuxième raison de l’adhésion à la thèse du GIEC, c’est évidemment l’intérêt matériel.
L’argent coule en effet à flot vers les scientifiques promoteurs de la thèse canonique, autant que vers les media climato-catastrophistes et vers les producteurs des énergies réputées renouvelables.
Mais au-delà de ces deux raisons évidentes, je vois cinq autres raisons moins flagrantes, mais probablement aussi importantes.
Une troisième explication sont les biais cognitifs. Il y en a au moins trois.
J’ai déjà évoqué le premier : l’orientation de l’information fournie.
Non seulement le GIEC ne retient que les articles conformes à l’orthodoxie climatique, il exerce en outre une impitoyable censure sur les dissidents, les condamnant à la mort scientifique et sociale pour peu qu’ils s’écartent même marginalement de la thèse canonique.
Comme le nom l’indique, une information n’est pas un évènement : c’est un rapport formaté d’un évènement.
L’information n’est jamais totalement objective et elle tend à l’être de moins en moins avec les réseaux sociaux et l’intelligence artificielle générative, qui dans leur principe privilégient les informations bien reçues du public, entrainant un cercle vicieux d’information monolithique.
Les deux autres biais cognitifs résultent du fonctionnement cérébral.
Notre cerveau représente moins de 2% du poids corporel, mais il nécessite plus de 20% de l’énergie totale consommée.
Privilégier une causalité simple aux dépens de raisonnements complexes qui ralentissent l’action a donc probablement été un avantage sélectif favorisé par l’évolution.
D’autre part les études psychologiques ont prouvé que les mauvaises nouvelles ont plus d’impact que les bonnes, ce qui là également résulte probablement de la sélection, par l’évolution naturelle, d’une vigilance particulière aux éléments de l’environnement potentiellement dangereux.
Science is settled. La science a parlé, selon Greta Thunberg.
L’efficacité de ce message s’explique par son caractère simpliste et menaçant, drapé de l’autorité de la science pour toute explication.
Une quatrième raison possible du succès de la thèse du GIEC serait l’éternelle aspiration humaine à une transcendance qui donne un sens à notre existence limitée.
Ce fut parfois une idéologie athée comme le communisme ou le nazisme ; mais le plus souvent ce fut et c’est toujours une religion.
Et il se trouve que la religion anthropo-réchauffiste est un substitut parfait de la religion chrétienne en déclin, car elle se coule particulièrement bien dans son moule dans l’imaginaire collectif, avec l’action humaine sur la nature, archétype du péché originel, et le CO2 archétype du démon, qui nous conduit à l’enfer par le réchauffement planétaire.
Il est logique dans cette interprétation que la doxa du GIEC prévale essentiellement, comme on peut le constater, dans les pays chrétiens comme l’Europe et les USA.
Une cinquième raison est le wokisme ambiant, un mouvement très prégnant aux manifestations aussi diverses que la repentance coloniale, la théorie du genre, la discrimination positive, le remplacement des mots réputés offensants dans la littérature, l’apologie de toutes les minorités, en particulier raciales et sexuelles, la pénalisation de la fessée aux enfants, le mouvement « me too », l’écriture inclusive, j’en passe ; un mouvement dans lequel ses expressions multiples ont ceci en commun d’être profondément anti-libérales et anti-humanistes et de faire prévaloir le politiquement correct sur l’objectivité et sur le simple bon sens.
Considérés sous l’angle du wokisme, le vent et le soleil c’est agréable, c’est sain, c’est bon ; le charbon et le pétrole c’est sale et ça pue.
Donc les énergies renouvelables c’est forcément bien. Leur rapport coût-bénéfices n’a aucune pertinence. Quand on aime, on ne compte pas.
La sixième raison est l’influence croissante de ce qu’on appelle outre atlantique le « Green Reich », l’écolo-gauchisme radical, dont l’objectif est la destruction de la société capitaliste et industrielle pour faire advenir un mode de vie nouveau, frugal et communautaire.
Pour le Green Reich, décarboner n’est pas un moyen, c’est le but.
Décarboner est moins un instrument de lutte contre le réchauffement que l’objectif en soi, qui est d’abattre la société industrielle par le biais des surcoûts imposés par la réduction massive des émissions de CO2.
Sur cette thèse aussi, plusieurs références sont à votre disposition.
En juin 2019, dans un article au titre révélateur « Qu'y a-t-il de plus urgent : réduire drastiquement la production de CO2 ou renverser le capitalisme ? » le journal Attac reprochait au GIEC de faire diversion avec le CO2 en occultant l’urgence du changement politique que constituait l’abolition du capitalisme. On ne peut pas être plus explicite.
Septième raison plausible, l’urgence invoquée de contrer les émissions de CO2 serait un prétexte opportun pour les gouvernants, destiné à faire passer la pilule du nécessaire retour au nucléaire chez les opposants.
En résumé, je vois 7 raisons qui concourent au succès de la thèse anthropo-réchauffiste : matraquage médiatique, intérêts matériels, biais cognitifs dans la production et dans la perception de l’information, religion de substitution au christianisme en déclin, conformité au wokisme, écolo-gauchisme radical, et alibi au retour du nucléaire.
CONCLUSIONS
La théorie du réchauffement d’origine anthropique, et le budget faramineux consacré à le limiter, en dehors de toute rationalité, repose uniquement sur l’hypothèse douteuse et controversée de la poursuite de l’effet de serre du CO2 malgré sa saturation dès la basse troposphère.
Il n’est nullement prouvé que les activités humaines aient eu une influence notable sur le réchauffement, et encore moins qu’elle puissent en avoir encore, l’effet du CO2 étant quasi saturé avec son taux actuel.
Et quand bien même serait-ce le cas, il n’est nullement prouvé que ce réchauffement serait dommageable, bien au contraire.
Et quand bien même serait-ce le cas, le coût de la décarbonation dépasserait le coût du réchauffement tant qu’il n’excède pas 3,5 degrés.
Encore ce dépassement de température est-il largement sous-estimé car il ne considère que les effets négatifs supposés du réchauffement en oubliant ses effets positifs pourtant évidents et majeurs, et en omettant aussi les bénéfices directs considérables de l’augmentation du CO2.
Finalement, le problème n’est pas le réchauffement climatique, qui n’est nullement inquiétant mais au contraire très probablement bénéfique, et encore moins l’élévation du CO2 atmosphérique, dont l’effet direct est extrêmement bénéfique, mais les mesures coûteuses et illusoires prises dans l’objectif irrationnel de limiter un réchauffement sans conséquences négatives notables, d’origine incertaine et d’amplitude insignifiante à l’échelle d’un siècle, au dépens des véritables problèmes que sont l’énergie, la pollution, le manque d’eau potable, la biodiversité, et surtout la surpopulation, origine commune de ces problèmes planétaires.
Le GIEC, un lobby écologiste sous un vernis pseudo-scientifique, a pratiquement occulté dans ses rapports le bénéfice majeur de l’augmentation du taux du CO2 atmosphérique pour les espaces verts, pour les rendements agricoles et pour le plancton océanique.
Il a effacé dans son dernier rapport l’optimum climatique médiéval.
Il a occulté le fait que les glaciers alpins étaient aux époques romaine et médiévale moins étendus qu’ils le sont aujourd’hui.
Il a occulté le fait que le réchauffement et la fonte des glaciers ont débuté bien avant les émissions anthropiques.
Il a en outre outrageusement menti sur de nombreux points, comme l’incidence des évènements météorologiques majeurs, la montée du niveau océanique et la population des ours polaires.
Cet organisme politique, dont la structure, la compétence et le fonctionnement n’ont jamais eu les caractères d’une organisation scientifique, a perdu toute crédibilité du fait de fraudes, de mensonges, d’omissions, d’affirmations erronées, du refus de contradiction, de présentations trompeuses et d’extrapolations invraisemblables.
Ses rapports ne procèdent pas d’une démarche scientifique contradictoire et objective mais d’une vision politicienne dans laquelle les données sont examinées à l’aulne d’un postulat a priori et d’une vision catastrophiste préconçue.
Ce sont là les traits caractéristiques d’une croyance religieuse.
Le GIEC a néanmoins réussi à convaincre une majorité de responsables politiques, les media et la moitié des citoyens, du moins en Europe et aux USA, de la nécessité impérieuse de réduire drastiquement et rapidement les émissions de CO2.
Pour autant, si leur conviction ne se fonde pas sur un minimum d’exégèse du dossier, elle n’est rien d’autre qu’une croyance ; et elle l’est encore plus s’ils confondent leur conviction avec un savoir, sortant alors des sentiers de la science pour épouser une foi.
L’hypothèse de la responsabilité anthropique du réchauffement n’est pourtant au mieux qu’une théorie non validée parmi d’autres, et au pire et plus probablement, pour reprendre les mots d’un des nombreux physiciens contestant les rapports du GIEC : « la fraude scientifique la plus monumentale et la plus réussie jamais vue de toute sa carrière. »
Si la théorie du GIEC est fausse, et je suis convaincu qu’elle l’est pour toutes les raisons présentées, elle pourra durer encore quelques années voire quelques décennies, mais elle finira par s’effondrer, comme tous les mythes scientifiques et politiques précédents se sont effondrés.
En attendant, elle se traduit par le détournement d’une politique climatique réaliste axée sur l’adaptation au réchauffement plutôt que sur la décarbonation.
Mais ce qui est beaucoup plus inquiétant, c’est la police de la pensée sévissant d’ores et déjà aux USA et surtout en France, prétendant verrouiller l’orthodoxie climatique en censurant toute dissidence, à l’instar d’autres domaines politiquement corrects, reflet de ce qui prévalait en U.R.S.S. : un totalitarisme sans le goulag, un des derniers titres en date de mes références, fort bien documenté et absolument terrifiant.
Je terminerai par deux citations.
La première est de Richard Lindzen, climatologue au MIT, Professeur en climatologie à Harvard, auteur de plus de 200 livres et articles, réviseur au GIEC avant d’en démissionner, à l’instar de beaucoup d’autres.
Je vous laisse apprécier sa formulation particulièrement savoureuse :
« Les générations futures se demanderont avec une stupéfaction amusée pourquoi, au début du 21ème siècle, le monde développé s'est plongé dans une panique hystérique à propos d'une augmentation globale moyenne de température de quelques dixièmes de degré, et sur la base d'exagérations grossières, de projections informatiques hautement incertaines, combinées en déductions improbables, il s'est trouvé en face d'un recul de l'âge industriel ».
Et je terminerai avec cette autre, qui est de Raymond Aron :
« Si la tolérance nait du doute, qu’on enseigne alors à douter des modèles et des utopies, à récuser les prophètes de salut et les annonciateurs de catastrophe. Appelons de nos vœux la venue des sceptiques s’ils doivent éteindre le fanatisme. »
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