Le CO2 est bénéfique
L’augmentation du CO2 n’est pas un problème, c’est une chance !
Il est peu probable que l’augmentation du CO2 atmosphérique puisse se traduire par une majoration significative de la température de surface car son effet de serre, déjà très faible dans l’absolu relativement à celui de la vapeur d’eau, est pratiquement saturé à son taux actuel ; et il est plus improbable encore que le réchauffement actuel, quelles qu’en soient les causes, soit nuisible à l’humanité, bien au contraire.
En revanche, il est établi avec certitude que l’augmentation du taux de CO2 depuis un siècle, à laquelle les émissions anthropiques ont probablement contribué, a eu un effet considérable sur la croissance du plancton, des espaces verts et des rendements agricoles ; et il est prouvé expérimentalement que la poursuite de son taux de croissance se traduira par une majoration supplémentaire de 40 % des rendements agricoles en moyenne à la fin du siècle.
Loin d’être le « polluant » dont on le qualifie parfois erronément, le CO2 est au contraire l’ingrédient essentiel de la vie. Nourriture des plantes, il est à la base de toutes les chaines alimentaires, et son taux optimal pour la végétation est le triple de sa valeur actuelle, raison pour laquelle on injecte du CO2 dans les serres agricoles pour accélérer et majorer la croissance des cultures.
Il est établi également que le climat se dirige vers une période glaciaire. Depuis au moins deux millions d’années, l’évolution climatique est une succession plus ou moins régulière de longues périodes glaciaires de l’ordre de 80.000 ans alternant avec des périodes inter-glaciaires de durées plus courtes et plus variables, allant de quelques milliers d'années à un peu plus de 20.000 ans. On ne peut donc prédire quand se terminera la période interglaciaire actuelle, appelée Holocène, qui a débuté il y a 12.000 ans, contemporaine de l'avènement du néolithique, où l'homme est passé du stade de chasseur-cueilleur à celui de cultivateur-éleveur. Ce qui est certain c’est que la prochaine glaciation plongera l’humanité dans des conditions terribles (auxquelles nos ancêtres du paléolithique ont néanmoins survécu dans des régions encore viables) pour des millénaires, ramenant à 8° la température moyenne mondiale qui est aujourd’hui de 15°. Cette glaciation rendra couvertes de déserts glacés de vastes régions de la planète actuellement habitées.
Le climat varie également sur des périodes plus courtes alternant réchauffements et refroidissements plus modérés à intervalles de quelques siècles. Les deux périodes de réchauffement antérieures, à l'époque romaine où Hannibal franchit les alpes avec des éléphants, et à l'époque médiévale où les Vikings cultivaient le sud du Groenland, ont été favorables à l'hulmanité. La période de réchauffement actuelle est également favorable. Elle correspond à la récupération de la petite période glaciaire qui culmina sous Louis XIV. Il faut s'attendre à une période de refroidissement d'ici quelques années à un ou deux siècles, avant le retour à plus long terme d'une période glaciaire de grande ampleur comme celle qui précéda l'Holocène.
Il faudrait donc non pas décarboner mais au contraire majorer le taux de CO2 atmosphérique, aujourd’hui pour optimiser les rendements agricoles et marins, et demain pour maintenir la participation du CO2 à l’effet de serre atmosphérique protecteur, lorsque la consommation des carburants fossiles viendra à diminuer.
Il est possible de le faire sans utiliser obligatoirement des carburants fossiles, en brûlant du calcaire dans les cimenteries avec l’électricité produite par le nucléaire. Les cimenteries contribuent en effet à raison de 8 % au total des émissions de CO2 mondiales.
A l’opposé de la décarbonation prônée par le GIEC, et du financement de sources d’énergie non rentables et qui ne le seront jamais (la production réelle de l’éolien et des panneaux solaires, outre qu’elles sont des sources intermittentes non pilotables, sont respectivement de 24% et 14% de leur capacité de production installée), la raison nous dicte au contraire des mesures telles que celles-ci :
-
Mise en service de centrales nucléaires de nouvelle génération, plus particulièrement des surgénérateurs, faibles consommateurs de carburant nucléaire.
-
Arrêt des subsides à la production d’énergie éolienne et solaire.
-
Arrêt des avantages fiscaux aux voitures électriques.
-
Arrêt de toutes les mesures pénalisant les émissions de CO2.
-
Fourniture gratuite ou à prix bradés aux cimenteries de l’électricité nucléaire produite en période de basse consommation.
Aujourd’hui la fiction climatique commence à se dégonfler, sous le double effet de la réfutation des prévisions du GIEC, qui ont toujours été contredites par les faits, et de l’accumulation de publications climatosceptiques qui commencent à échapper à la censure.
De nombreux scientifiques qui n’ont pas encore viré de bord cherchent un moyen de quitter le navire sans trop compromettre leur avenir.
Le taux de climato-sceptiques dans la population est aussi en croissance régulière et les autres se détournent de la cause climatique, laquelle par conséquent intéresse de moins en moins les politiques, au grand désespoir des anthropo-réchauffistes.
Restent néanmoins les media incluant le web et les réseaux sociaux qui continuent imperturbablement à servir la même soupe idéologique.
Leur responsabilité est doublement engagée en persistant à présenter le mythe d’un réchauffement catastrophique dû aux activités humaines comme un consensus, alors qu’il est contredit par des milliers de scientifiques :
-
Premièrement, parce que ce mensonge délivré aux politiques en occultant les nombreuses voix discordantes les entraine dans des dépenses faramineuses contraires à l’intérêt de l’humanité en général et de nos industries et notre population en particulier, notamment par le biais d’une augmentation du coût de l’électricité, et par répercussion de la plupart des marchandises.
-
Deuxièmement, et c’est peut-être le plus grave, parce que lorsque cette bulle implosera, ce qui arrivera nécessairement car selon l’adage bien connu on ne peut pas mentir à tout le monde indéfiniment, et que le citoyen se rendra compte à quel point il a été abusé, il aura perdu pour très longtemps et dans tous les domaines la confiance qu’il accorde généralement aux scientifiques.
Malgré tous ses défauts, Trump a gagné parce qu’il a eu l’intelligence ou l’instinct politique de centrer sa campagne sur les deux menaces majeures pour l’occident : l’immigration incontrôlée et le mythe du dérèglement climatique. Sous l’administration démocrate, les USA étaient le seul pays avec l'Europe à avoir réduit ses émissions de CO2. Il est d'ores et déjà établi que cette tendance va s’inverser sous l’administration républicaine, qui l'a clairement annoncé, ce qui accélérera le déclin de la vielle Europe, plombée par son aile écolo-gauchiste et sa politique d’assistanat, d’ouverture des frontières et de décarbonation insensée.
Cela durera sans doute encore quelques années car le propre de l’inertie, qui est l'autre face de la plus fondamentale des forces de la nature, la gravitation universelle, est qu’un mouvement une fois lancé reste sur sa trajectoire tant qu’il n’est pas contrarié par des forces antagonistes assez puissantes et agissant dans la durée.